Conseils et Infos
Un voyage en Mongolie ne se prend pas à la légère. En effet, cette aventure nécessite d’être bien conscient de tous les aspects spécifiques à la Mongolie et qui rend ces circutis d’autant plus merveilleux. C’est pourquoi vous trouverez dans cette section des conseils et infos pour mieux comprendre l’expérience que vous vivrez.
La Mongolie connait plus de 260 jours d’ensoleillement par an, ce qui en fait un des pays les plus ensoleillés au monde. Toutefois, c’est particulièrement en hiver où le ciel d’un bleu pur se conjugue avec un froid revigorant.
L’hiver
De novembre à mars, les températures sont négatives. En moyenne, elles varient entre -20 °C et -30 °C lors des mois les plus froids de l’année, en décembre et janvier. Le froid reste sec, et il neige très peu à cette période. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il est possible de visiter la Mongolie toute l’année même si, bien évidemment, cela demande un matériel et un équipement adapté. Par exemple, un séjour chez l’habitant à cette période reste magique et l’accueil est d’autant plus chaleureux qu’il fait froid dehors. L’avantage est que cela rend possible de nouvelles activités qui ne sont pas faisable le reste de l’année tel que le chien de traîneau ou assister au festival des glaces à Khuvsgul.
Le Conseil du Routard
On n’y pense pas assez souvent, mais la découverte de la Mongolie en hiver reste quelque chose de spécial. Très peu de personnes osent s’y aventurer mais il est possible de vivre un autre visage de la Mongolie, une autre ambiance, un autre environnement, des paysages exceptionnels et une manière autre de vivre la Mongolie en hiver
Le Printemps
Avril et mai sont les mois de transition. C’est le printemps. Le climat se réchauffe certes mais c’est la période des tempêtes de sable. Etre pris sous une tempête dans le Gobi peut être une expérience inoubliable. Le mois de mai est réputé comme le plus instable. Les 4 saisons peuvent défiler en une seule journée… d’où la devise Mongole : “Méfie-toi du soleil du matin”.
L’été
Viennent ensuite les 4 mois tant attendus les plus agréables pour un voyage en Mongolie reviennent : juin, juillet, août et septembre.
A partir de juin les températures dépassent facilement les 20 °C et il est agréable de visiter la Mongolie. Juin et juillet sont les mois les plus humides et les averses de fin d’après-midi sont fréquentes. Il n’est pas rare de se retrouver sous de grosses pluies ou même des averses de grêle.
C’est entre les mois de juin et septembre que se trouvenet les meilleurs jours pour visiter le Gobi. La steppe prend sa belle couleur verte à partir du mois de juillet. Les fleurs colorent les steppes…
A compter du 15 août, les températures nocturnes commencent à baisser avec un risque de gelée. Les journées restent néanmoins sèches et ensoleillées avec des températures oscillant entre 15°C et 25°C, et cela jusqu’à la mi-septembre. À partir de la mi-septembre, les forêts prennent leur couleur automnale, ce qui donne au pays une beauté à couper le souffle. Le temps reste sec et ensoleillé, mais les températures amorcent leur chute. La Mongolie pourra encore se visiter jusqu’à la fin octobre, mais vous devrez prévoir un équipement pour le froid. En effet, les températures pourront chuter en dessous de 0 °C.
Les risques de neige sont possibles à partir de la mi-août en altitude, et de la mi-septembre dans les plaines.
Un des attraits de cet aimag est la diversité de sa population. Khövsgöl est en effet le lieu de résidence de plusieurs ethnies dont les Bouriates, les Khotgoid et surtout les Tsaatan. Cette dernière vivant de l’élevage des rennes et dont il ne reste plus actuellement qu’une poignée de familles. Autre fait amusant, l’aimag dispose de gros troupeaux, c’est la région administrative où les moutons sont les lus nombreux.
La région est très touristique, principalement à cause du lac de Khövsgöl. Il faut dire que le site est magique. Les balades à organiser dans les environs sont illimitées tant à chaque sortie, on découvre de nouvelles choses.
« Perle bleue de Mongolie », le lac Khövsgöl est une superbe étendue d’eau qui s’enfonce sur 136 k, dans la taïga. Avec les montagnes qui l’entourent, il constitue le cœur du parc national, destination phare pour les touristes mongols et étrangers.
C’est le deuxième lac de Mongolie par la taille, juste après Uvs nuur. En revanche, le lac Khövsgöl est à la fois le plus profond de Mongolie et la 14è réserve d’eau douce du monde. Il représente en effet de 1 à 2% du volume mondial d’eau douce. Né des mouvements tectoniques que la lac Baïkal en Sibérie, le lac Khövsgöl est son cadet de 23 millions d’années.
Les eaux du lac sont riches en truites lénok et esturgeons. Sur la terre ferme vivent de nombreux argalis, ibex, ours, zibelines et élans, ainsi que quelques carcajous. On dénombre plus de 200 espèces d’oiseaux dont la sarcelle élégante, l’oie à tête barrée et la cigogne noire.
Climat
Le printemps (avril-mai) est une des plus agréables : il pleut moins qu’en août, et les fleurs et les oiseaux sont très nombreux. Toutefois, il fait encore très froid, il reste de la neige au sol et de la glace en surface du lac.
La période estivale voit affluer un peu plus de visiteurs mais il fait parfois encore froid et il pleut souvent. Les prairies qui entourent le lac sont tapissées de superbes fleurs sauvages. L’automne (septembre-octobre) est également une période agréable, en particulier parce que la végétation change de couleurs.
Pendant la saison hivernale (novembre-mars), le froid est mordant mais le ciel généralement d’un bleu limpide. Le lac Khövsgöl gèle jusqu’à une profondeur de 1m20, de sorte que des camionnettes transportant des passagers peuvent le franchir. Environ une quarantaine de camions ont sombré dans le lac au cours des ans parce que la glace s’était fissurée.
Joyau de l’aïmag (province) de Selenge, le monastère d’Amarbayasgalant (monastère de la Félicité tranquille) est considéré comme l’un des trois plus importants monastères bouddhiques de Mongolie (avec celui d’Erdene Zuu à Kharkhorin). C’est aussi l’ensemble architectural le mieux conservé du pays. Ne le manquez pas si vous vous rendez au lac Khövsgöl, ou dans d’autres régions du nord et de l’ouest du pays. Comme il est à environ 5 heures de route d’Oulan-Bator, il peut également faire l’objet d’une excursion d’une journée depuis la capitale.
Histoire
Le monastère d’Amarbayasgalant fut édifié entre 1727 et 1737 par l’empereur mandarin Yongzheng, et dédié au légendaire sculpteur bouddhiste mongol Zanabazar, dont la dépouille momifiée fut transférée ici en 1779. L’ensemble est de style mandchou, comme en témoignent les inscriptions sacrées, la disposition symétrique ou encore les couleurs impériales.
Le bâtiment fut en grande partie épargné lors des purges de 1937, peut-être grâce à la piété des chefs militaires locaux qui ont freiné le processus. De nos jours, une soixantaine de moines vivent dans le monastère, qui en accueillait plus de 2000 en 1936. Le plus âgé d’entre eux a plus de 100 ans.
En principe, les temples du monastère sont fermés. Environ 6 temples sont ouverts au public. Le temple principal abrite une statue grandeur nature de Guru Deva Rinpoche.
Les cérémonies ont généralement lieu à 10h. Pour y assister, arrivez tôt ou passez la nuit sur place. Plus récent, une grande statue bouddhique et un stupa se dressent sur les collines derrière le monastère. La vue est de plus en plus belle au fur et à mesure que l’on grimpe.
(Naimaan Nuur)
Naiman Nuur est une zone regroupant huit petits lacs créés par des éruptions volcaniques et désormais intégrés dans une réserve naturelle. Les lacs se trouvent à une altitude de 2 200 mètres et sont entourés de forêts percées de cratères de volcans. L’endroit est très beau, d’un accès difficile et où les nuits sont fraiches, même en été.
Terkhiin Tsaagan Nuur (lac blanc)
Bordé de cratères volcaniques, de champs de lave peuplés de pins, le grand lac blanc est le site naturel incontournable de l’aimag de l’Arkhangaï. Selon la légende, il se forma après qu’un couple de personnes âgées oublia de recouvrir un puits où il était venu chercher de l’eau. La vallée fut alors inondée jusqu’à ce qu’un personnage héroïque des environs ait visé avec sa flèche le sommet de la montagne voisine. Le sommet s’effondra, recouvrit le puits et devint une île sur le lac.
Il est le fait de l’éruption volcanique du mont Khorgo. La lave a en effet bloqué la rivière Terkh au nord et au sud, entrainant la formation d’un barrage naturel, et donc de ce lac, situé à 2 060 mètres d’altitude.
Il n’est pas aussi boisé ou vaste que le Khövsgöl. Le lac, les oiseaux et les montagnes sont désormais protégés dans l’enceinte du parc national de Khorgo – Terkhiin Tsaagan Nuur.
Ce lac fut formé par les coulées de lave d’une éruption volcanique survenue il y a de nombreux millénaires. C’est un excellent lieu de baignade, bien que l’eau soit un peu fraîche le matin. Les étendues de sable sont idéales pour passer quelques heures de repos et de tranquillité.
Le volcan de Khorgo
L’excursion qui vous mène au sommet est une des plus connues. Il vous faudra une dizaine de minutes pour accéder au cône et profiter d’une vue imprenable sur le lac.
Kharkhorin
C’est en 1220 que Chinggis Khaan décide d’installer sa capitale à Kharkhorin, servant de base d’approvisionnement. Son fils, Kubilaï, y ordonna la construction d’une capitale et devint rapidement un endroit incontournable. La ville attira commerçants, dignitaires et travailleurs qualifiés venus d’Asie et d’Europe. Cette période d’essor durera une quarantaine d’années jusqu’à ce que Kubilaï décide de transférer la capitale vers l’actuelle Pékin.
Par la suite,des soldats mandchous détruisirent la ville en 1388 . Les restes de Kharkhorin furent utilisés pour construire le monastère d’Erdene Zuu qui fut endommagé lors des purges staliniennes.
Le monastère d’Erdene Zuu
Fondé en 1586 pa Abataï Khaan, Erdene Zuu, que l’on peut traduire par monastère des cents trésors, fut le premier monastère bouddhique de Mongolie. Il comptait entre 60 et 100 temples et environs 300 yourtes. A son apogée, jusqu’à 1000 moines vivaient dans ses murs. Aujourd’hui, il ne reste plus rien de la capitale de l’Empire mongol du 13ème siècle. Trois des quatre statues de tortues portant la stèle de la ville ont été trouvées, une est exposée au musée d’Oulan-Bator, l’autre se trouve sur une colline dominant la ville et la troisième est visible dans l’enceinte du monastère. Il n’y a toujours aucun signe de la fontaine qui trônait au centre de Kharkhorin et construite par le joaillier et sculpteur parisien Guillaume Boucher.
Adossé au massif du Khangai, ce monastère pittoresque est un haut lieu de pèlerinage très important pour les Mongols. C’est Zanabazar qui fonda le site en 1653. Il y vécut et y médita pendant 30 ans. Le monastère fut détruit en 1937, mais reconstruit grâce à des financements publics. D’après la légende, l’artiste mongol habitait dans ce monastère quand il créa le Soyombo, qui allait devenir le symbole de la Mongolie.
Le tout se trouve sur le pic de Shireet Ulaan Uul, que Zanabazar avait sûrement choisi pour la forme inhabituelle de son sommet. C’est ici que Zanabazar créa nombre des ses œuvres. Compter une bonne heure de marche pour atteindre le sommet. De nombreuses mouches vont vous contrarier sur le chemin, n’oubliez surtout pas de prendre une casquette ou une serviette à mettre sur la tête pour vous protéger afin de profiter d’une ascension plus agréable.
La vallée de l’Orkhon est inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2004, se situe à 360 km au sud-ouest d’Oulan Bator.
Cette région a accueilli de nombreux grands peuples nomades, comme les Xiongnu (3ème siècle av J-C), les Ouïgours (8ème siècle ap J-C), l’empire de Gengis Khan (1200-1300). La vallée était un véritable carrefour de civilisations, reliant l’Orient à l’Occident.
Le site est constitué de magnifiques paysages, notamment les chutes de la rivière Orkhon (également appelées Ulaan Tsutgalan) et le monastère Tovkhon Khiid.
Les chutes d’Orkhon
Elles se trouvent dans un incroyable paysage volcanique. Des irruptions successives ont recouvert la vallée de l’Orkhon de roches volcaniques noires qui émergent au milieu de la steppe verdoyante. Les chutes forment un site de toute beauté. Il est possible d’aller en bas des chutes pour admirer la puissance de l’eau. Attention toutefois, en été, il n’est pas rare que les chutes soient asséchées par le manque d’eau. En descendant la rivière, il est aussi possible de voir des chutes, plus petites.
Avec ses paysages emblématiques de dunes, de canyons où l’on trouve de la glace même en été, de roches érodées et de superbes massifs montagneux, c’est à juste titre l’un des parcs nationaux les plus fréquentés. La plupart des visiteurs s’en tiennent aux sites majeurs et n’en découvrent qu’une portion. Si vous avez plus de temps, il est possible de rouler jusqu’à sa partie ouest plus reculée dont le décor lunaire donne le frisson.
Ce parc doit son nom à trois monts, quatre en réalité, qui, outre leur beauté naturelle, hébergent plus de 200 espèces d’oiseaux.
Situé à 60 km à l’ouest de Dalanzadgad, la gorge de Yoliin Am est protégée depuis 1965. Située à une altitude de 2500 mètres, elle est réputée pour le glacier qui se forme autour de son cours d’eau. Le nom de Yollin Am vient des nombreux vautours que l’on peut apercevoir dans la montagne. Il est aussi très courant de voir le nom de Vallée des Aigles. Il est possible de faire une petite marche agréable au sein de la gorge.
Bayanzag, dont le nom dignifie « riche en saxaouls », est plus connu sous la dénomination de « falaises de feu » donnée par le paléontologue Roy Chapman Andrews. C’est ici qu’a été découverte une grande partie des squelettes et d’œufs de dinosaures exposés dans les musées du pays ou de l’étranger. Vous pourrez peut-être dénicher quelques fossiles comme le prétend la population locale. Ce lieu reste très intéressant à découvrir. Profitez du coucher de soleil qui influe sur la couleur des falaises.
Khongoriin Els abrite des dunes parmi les plus impressionnantes de Mongolie. Appelées aussi Dunes chantantes, ces dernières mesurent jusqu’à 300 m de hauteur, 12 km de largeur et quelque 100 km de longueur. Les plus grandes s’élèvent dans la partie nord-ouest du massif. L’ascension jusqu’au sommet dans le sable glissant s’avère épuisante. Cependant, votre abnégation sera récompensée par des perspectives splendides sur le désert.
Des randonnées en chameau peuvent être organisées. Le décor est intriguant. Des dunes de sable au milieu de nulle part, devant de hautes montagnes et de la verdure au premier plan ??!! Comment est-ce possible ? La beauté de la nature.
Situé au nord-ouest de la petite ville de Mandalgovi – la capitale de la province Dundgobi, « Bag Gazriin Chuluu » est une étonnante formation de granit posée au cœur de la steppe. Cette formation granitique est sacrée pour les mongols. Au XIXème siècle, des moines vivaient ici dans un monastère aujourd’hui en ruine (suite aux purges des années 1930) et ont laissé dessins et autres peintures rupestres comme témoignage de leur passage. Ces immenses rochers couleur ocre forment des dédales naturels au détour desquels on aperçoit des arbres couverts de khatag bleus (écharpes à offrande en soie), des ovoos (caïrns dédiés aux esprits) ainsi que d’autres matériaux ou objets placés là en offrande aux esprits du lieu et des ancêtres.
Le visa
Le visa est obligatoire pour rentrer en Mongolie. Votre passeport doit être en règle et valide pendant au moins six mois après la date de votre retour. Les visas touristiques classiques sont délivrés pour une durée de 30 jours à partir de votre entrée sur le territoire Mongol. Vous devez arrivez en Mongolie dans les 3 mois après son obtention.
L’obtenir est simple et prend normalement 5 jours ouvrables (jusqu’à deux semaines dans certains consulats). Vous avez besoin de votre passeport original, d’une photo d’identité, du formulaire dûment complété et d’une attestation de voyage que nous vous fournissons. Le coût du visa est d’environ 60 euros. Il est possible d’obtenir son visa sans les 24 heures en payant un supplément, qui correspond au double du prix normal du visa. Pensez bien à mettre une copie de votre passeport, assurance et billets d’avion ainsi qu’une photo d’identité supplémentaire en cas de perte ou de vol cela vous sera utile pour accélérer les procédures.
Pour toute information complémentaire concernant la procédure requise pour obtenir un visa, vous pourrez consulter le site de l’Ambassade de Mongolie en France.
Vols internationaux
Le prix de nos voyages n’inclut pas le vol international. Ainsi c’est à vous d’acheter votre propre vol pour la Mongolie. Le plus avantageux est souvent d’acheter votre billet d’avion par internet sur les différents sites internet des compagnies aériennes. Bien sûr, plus vous achetez tôt votre billet et moins il sera cher !
Voici les différentes compagnies aériennes qui proposent des vols à destination de la Mongolie (cliquez pour accéder aux sites internet) :
- Aéroflot
- Turkish Airlines
- Korean Air
- Air China
N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions.
Attention : en règle générale, le départ d’Europe doit se faire un jour avant le début du circuit car, à cause du décalage horaire, vous arrivez le jour après votre départ.
Santé
Les vaccins
Aucun vaccin n’est obligatoire pour la Mongolie. Cependant vous allez voyager dans une région du monde reculée. Aussi, quelques précautions s’imposent :
- La mise à jour des vaccinations Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite (DTP) ou DTP-Coqueluche, et Hépatite A, est recommandée.
- Un contrôle des vaccinations Tuberculose Rougeole-Oreillons-Rubéole peut être conseillé en particulier chez les enfants (rougeole).
- Autres vaccinations conseillées (selon modalités du séjour) : fièvre Typhoïde et Hépatite B, Encéphalite à tiques.
- En cas de séjour prolongé, en cas d’isolement, la vaccination contre la rage peut être conseillée. Demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales.
Trousse à pharmacie
Chacun connaissant sa santé, il vous est recommandé d’apporter votre trousse de soin personnel en plus des besoins que nécessitent une venue en Mongolie : temps sec, route difficile (courbature et fatigue, moustique dans les forêts et lacs…). Ainsi, des démangeaisons, une indigestion, une ampoule, une petite blessure, ces petits rien peuvent rapidement vous gâcher votre voyage. Voici à quoi pourrait ressembler votre pharmacie personnelle:
- Répulsif contre les moustiques et autres insectes
- Crème apaisante en cas de piqûres d’insectes ou de végétaux
- Crème solaire
- Crème après-soleil ou Biafine
- Compresses stériles et pansements, dont pansements spécial ampoules
- Paracétamol
- Crème pour les hématomes, courbatures…
- Anti diarrhéiques et déconstipant
- Pastille pour la gorge Collyre, en cas d’assèchement de l’œil
- Pastilles purificatrices